Kola a été formé par son père depuis 6, 7 ans et les deux partagent la même passion. Depuis environ 2 ans, Kola est lui aussi passé, pour quelques commandes, au vinyle, pour sa rapidité. Mais il préfère toujours la main et d’après lui, la peinture peut faire son temps alors que le numérique va déteindre, passer au soleil. Par là, la place qu’est en train de prendre le vinyle sur le marché ne l’effraie pas, car il est persuadé que les clients préféreront toujours la tenue de la peinture.
L’ordinateur, c’est «trop facile» et «si tu n’apprends pas la calligraphie, tu ne peux même pas faire l’exécution d’une commande correctement». D’où les nombreuses enseignes numériques à qualité graphique réduite faites par des personnes qui n’ont reçu aucune formation.
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